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Le problème, en ce qui concerne les abductions (enlèvements par de présumés extraterrestres) réside notamment dans l'invraisemblance des faits. En effet, l'hypothèse HET a beau être séduisante, il ne s'agit toujours que d'une hypothèse et celle-ci passe par une impossibilité théorique scientifique (la vitesse de la lumière, qui rendrait les visites inconcevables), par un point d'interrogation qui a heureusement tendance à devenir de plus en plus pâle, celui des exoplanètes, l'habitude ancestrale de l'anthropocentrisme qui veut que nous ayons beaucoup de mal à imaginer des êtres qui n'auraient pas du tout notre apparence mais surtout qui nous seraient de loin supérieurs (au point de nous considérer comme des cobayes, voire du bétail, ou même de la nourriture !).
Mais on trébuche également sur cette satanée pierre d'achoppement de l'ufologie : l'absence totale de preuves concrètes.
Totale ? Peut-être pas...
En effet, dans certains cas, des personnes abductées se plaignent de maux qu'ils attribuent à une partie de leur corps, laquelle présente une caractéristique particulière, comme un gonflement, une dureté, etc. qui font penser à un implant.
Tout cela est bien souvent précurseur d'explications tout à fait rationnelles (piqûre d'insecte, éclat d'une projection, etc.) mais parfois aussi, les choses vont plus loin. Sur la table d'opération par exemple.
Là, summum de la frustration pour les ufologues, le soi-disant implant est tout simplement jeté à la poubelle par le médecin qui, soit n'a pas été averti, soit ne croit pas un mot de ces histoires des "soucoupes volantes" : on ne la lui fait pas !
Fort heureusement, il existe aussi des parcours très différents. C'est le cas du docteur Roger K. Leir, l'auteur du présent livre.
Il est spécialiste en podiatrie et chirurgien. Il a présenté ses travaux de recherche dans le monde entier, et il fut l'un des sept chercheurs américains choisis comme porte-parole à l'occasion de l'inauguration du Musée de l'Aéronautique et des OVNIS au Japon.
Que ressort-il de ses travaux ?
Il faut tout d'abord savoir que les sujets ont été soigneusement triés selon des critères très précis de vraisemblance et ensuite que ledit chirurgien... a rencontré les mêmes problèmes que tout un chacun, à savoir celui des fonds nécessaires pour réaliser ses projets, l'organisation que ceux-ci impliquaient ainsi que l'investissement en temps et, bien entendu, de solides réticences de la part des milieux scientifiques.
Pourtant, parmi les "implants" récoltés et donc réellement extraits de l'organisme des personnes concernées, on trouve de véritables bizarreries. Nous n'en relèverons ici que quelques-unes : des objets présentant une curieuse enveloppe de kératine, particulièrement résistante, même au scalpel et contenant des substances dont la répartition s'avère pour le moins curieuse; des substances parfaitement connues et existant sur terre mais pas dans le sens commun, c'est-à-dire qu'il faut, pour les produire, une technologie avancée qui ne peut forcément pas provenir du corps humain lui-même et que l'individu n'a que d'infimes chances de recevoir "par hasard" dans son corps, et "par hasard" à la suite d'une curieuse observation d'OVNI, dans des circonstances non moins étranges et alors que la personne jouit d'un fort degré de crédibilité.
Nous avons parcouru ce livre avec beaucoup de plaisir, en regrettant toutefois par moments que les choses soient présentées un peu comme s'il s'agissait d'un roman, alors qu'il ne s'agit nullement de fiction. Quelque part, nous aurions préféré une étude, même si elle avait dû s'avérer plus austère.
Sur le sujet des implants lui-même, le livre se suffit. Mais nous attendrons d'avoir lu d'autres témoignages de la même veine avant de nous prononcer. C'est que lorsque l'on a une approche scientifique, on se doit de rester prudents, de recouper les résultats, de tester et de vérifier encore...
A défaut de pouvoir adhérer au témoignage de Roger K.Leir, les yeux fermés, un point nous suggère l'authenticité par le biais d'un travers maintes et maintes fois rencontré qui, finalement, pèche par sa récurrence et finit par manquer sa cible initiale à trop vouloir l'abattre.
En effet, l'auteur explique que, confronté aux services de l'Associated Press, le service de l'agence avait naturellement voulu vérifier si le docteur Vernon Clarck était bien un employé de l'Université de Californie. Cependant, comme ils avaient donné un nom erroné, on leur avait répondu que l'intéressé était "inconnu au bataillon". Il leur fut donc signalé l'erreur ce à quoi ils ont répondu par des excuses et la promesse d'un erratum. Et ils ont tenu promesse, sur un plan technique... Ce qui se passa en réalité est loin d'être satisfaisant comme on peut le comprendre : une soixantaine de journaux s'en tint à la version initiale et seulement deux apportaient la correction ! Il est effectivement difficile d'imaginer que cela n'ait pas été fait exprès, même si l'erreur est humaine.
Ceci fait dire à l'auteur, non sans amertume : "Non seulement nous travaillions dans un domaine qui n'avait jamais été exploré sérieusement par les institutions scientifiques, mais nous étions également les victimes du fait que les médias omettaient de diffuser certaines informations, de façon à discréditer les OVNIS."
Dr. Leir - Alien Implants Tested par SECRET-REALITE
p.70 : réactions inattendues du patient malgré l’anesthésie traditionnelle + hypnotique. (sensibilité)
p.71 : (J’en ai extrait)… « ce qui ressemblait à une masse en forme de T, de couleur gris foncé et légèrement brillant. Il apparaissait bombé, non-métallique et mesurait 0.5 cm X 0.5 cm ».
p.72 : (Ils étaient – 2 objets)… très résistants, même au scalpel.
p.74 : (…) « le second objet était nettement plus petit que le premier et ressemblait à une graine de cantaloup (melon). Il présentait quelques fils très fins qui s’étiraient en vrilles à ses extrémités. Nous étions fort surpris de constater que ce spécimen que nous venions d’obtenir était également recouvert d’une enveloppe souple, brillante, de couleur gris foncé ».
p.76 : (…) « pourtant l’objet était clairement visible sur la radio ».
p.76 : « Les objets que nous avons extraits de son orteil paraissaient métalliques ».
p.77 : Le corps étranger est supposé émettre un puissant champ magnétique à en juger du bourdonnement des appareils électroniques présents.
p.79 : « Objet de la forme d’une petite graine de cantaloup recouvert d’une membrane gris sombre.
- ressemblant exactement à l’objet de l’extraction précédente
- Membrane très résistante, même au scalpel.
p.82 : tissu mou entourant un corps étranger :
« En lisant (le rapport), je ne pouvais en croire mes yeux. Il devait probablement y avoir une source d’erreur quelque part : ces échantillons de tissu ne présentaient aucune trace d’inflammation. Il est impossible qu’une substance étrangère au corps humain n’y entre sans qu’il ne réagisse à celle-ci ».
p.83 : « Un autre constat étonnant était la quantité impressionnante de proprio récepteurs nerveux présenté par l’échantillon de tissu. Il n’y avait pas de raison anatomique pour que ces cellules spécialisées soient agrégées autour d’un corps étranger logé profondément à l’intérieur d’un orteil, tout près d’un os. (…)
p.88 : Les parties métalliques étaient de couleur gris foncé et présentaient une surface irrégulière. Elles étaient fortement magnétiques et adhéraient à n’importe quel objet ferrique.
« Les enveloppes n’étaient constituées que de trois éléments biologiques : un coagulat de protéine, de l’hémosidérine et de la kératine ».
Analyste : « ce que nous nous observons maintenant constitue le reliquat d’un caillot qui n’a pas été éliminé par l’organisme ».
Dr Leir : « Le seul problème que j’ai avec ce coagulat, c’est qu’il est resté pendant quarante et un an à l’intérieur du corps de mon patient (…) »
p.133 : l’échantillon KT contenait des métaux et terres rares comme l’Europium, le Ruthénium et le Samarium.
p.142-143 : « A partir de l’observation de l’objet en forme de T au microscope électronique, nous savons maintenant que l’objet est, de toute évidence, conçu et fabriqué avec précision, et non un objet d’une forme se rencontrant dans la nature. L’observation agrandie par le microscope électronique d’un implant en silicium que Whitley Strieber avait amené à un laboratoire pour analyses montrait la même chose : l’implant n’était pas un éclat brisé, mais bien un objet fabriqué avec soin, avec des bords arrondis. (…)
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