Centre d'Études et de Recherches

sur les Phénomènes Inexpliqués

Un humanoïde à Vilvoorde (Belgique)


En ce qui concerne les rencontres avec ceux venus d'ailleurs, on pouvait supposer que la Belgique n'était pas propice aux atterrissages avec débarquement d'ufonautes. En effet, le nombre de ces débarquements enregistrés en Belgique semblait négligeable par rapport à ceux enregistrés en France, aux États-unis et surtout en Amérique du Sud.
Néanmoins, depuis début 1973, un changement s'est de plus en plus dessiné. Les témoins d'apparitions et de survols importants sont de plus en plus nombreux. Même notre gendarmerie nationale, pourtant peu troublée jusqu'alors par le phénomène O.V.N.I. s'est émue par cette recrudescence de témoignages.
L'observation de l'humanoïde de Vilvoorde (mi-décembre 1973) est une illustration probante du regain d'activité ufologique sur notre territoire au cours de cette période.
Vilvoorde est une localité industrielle d'environ 35000 habitants située à une douzaine de kilomètres au nord nord-est de Bruxelles.
L'observation qui nous occupe s'est produite dans un quartier d'habitations principalement unifamiliales, depuis le domicile du témoin qui occupe le rez de chaussée d'une modeste maison sise à front de rue et construite entre murs mitoyens. A l'arrière, un jardinet d'environ 75 mètres carrés est délimité par trois hauts murs chaulés.
A la mi-décembre 1973, bien qu'étant au coeur de l'hiver, il ne subsistait plus rien des abondantes chutes de neige du mois précédant, toutefois le temps était toujours très froid et un vent fort soufflait sur la région.
Cette nuit là, M.V.M. se réveille vers 2 heures pour se rendre aux toilettes situées dans la petite cour extérieure attenante à la cuisine. Pour ne pas réveiller sa femme, il s'éclaire avec une petite lampe de poche.. Arrivé dans la cuisine, il entend à l'extérieur le bruit d'une pelle qui tombe et son attention est alors attirée par une clarté verdâtre en provenance du dehors, clarté comparable à celle diffusée par l'éclairage d'un aquarium. Intrigué, il se dirige vers la fenêtre et découvre un spectacle déconcertant : dans le fond du jardin se trouve un petit personnage d'environ 1 m 10 revêtu d'une combinaison luisante qui est source de la luminosité. Le personnage est de corpulence moyenne, la tête, les jambes et les bras étant normaux. Le témoin compare l'aspect de la combinaison à la matière de la carrosserie de certaines voitures de type Buggy (polyester teinté avec des particules métalliques). La tête est protégée par un casque transparent. Un tuyau en part de l'arrière pour se raccorder à une sorte de havresac que le personnage porte sur le dos. Le vêtement n'a apparemment ni couture, ni bouton, ni poche. Le témoin remarque à la hauteur de la taille, une ceinture équipée d'une petite boîte carrée diffusant une luminosité rouge d'intensité constante. Le pantalon pris dans de hautes bottes serrantes a le même aspect que le reste de l'uniforme. Les mains gantées ont une morphologie comparable aux nôtres. Vue de dos, la tête paraît ronde et noire et M.V.M. pense que le personnage devait avoir les cheveux courts.
L'humanoïde tient en main un objet comparable à un détecteur de mines qu'il passe lentement au dessus d'un tas de briquaillons. L'instrument n'émet aucun bruit ni sifflement. Le témoin fut frappé par les difficultés que cet humanoïde manifestait pour se déplacer. Il se dandine à chaque pas et fléchit les genoux. Sa démarche semble particulièrement lourde. Alors M.V.M utilise sa lampe pour faire des appels lumineux dans le fond du jardin.
A ce moment, l"humanoïde pivote tout d'une pièce et le témoin voit pour la première fois le visage noir du visiteur. Ni le nez ni la bouche ne sont visibles, seules de petites oreilles plus ou moins pointues peuvent se distinguer. Les yeux sont ovales et de couleur jaune, très grands et brillants, entourés d'un bord vert.

L'ufonaute regarde le témoin et semble répondre aux signes lumineux en levant la main pour former un signe "V".

Après cela, il se retourne et chemine vers le mur du fond. Arrivé devant le mur, à la grande stupeur du témoin, il pose un pied à plat sur la maçonnerie et sans hésiter fait de même pour le second pied et monte ainsi le long du mur sans aucune difficulté. Il disparaît sur l'autre face du mur selon cette méthode inattendue. Une minute plus tard, une vive auréole de lumière blanche apparaît derrière le mur et un son stridulé est faiblement perceptible.

Ensuite, très lentement, un objet rond apparaît quelques mètres en arrière du mur.

L'objet s'immobilise alors pendant approximativement 4 minutes. Son diamètre est d'environ cinq mètres. La moitié supérieure est phosphorescente de couleur orange surmontée d'une coupole transparente diffusant une lumière verdâtre. La moitié inférieure est de couleur bordeaux foncé et porte trois feux alignés horizontalement qui s'allument trois fois de suite comme des flashes. Le contour de l'objet émet des étincelles assez semblables à celles d'une pierre à briquet. Sous le dôme transparent, M.V.M aperçoit l'humanoïde baignant dans une lumière glauque.
Un sigle est visible juste sous la coupole, il est composé d'un cercle noir traversé diagonalement par un éclair jaune brillant. L'engin s'élève ensuite de 20 mètres, bascule lentement, le bruit s'intensifie, l'engin accélère en laissant derrière lui une traînée lumineuse. Après quelques instants, il n'est plus qu'un petit point perdu dans les étoiles.
Pendant cette rencontre extraordinaire aucun sentiment de crainte ni d'hostilité n'est apparu de part et d'autre.
Le lendemain, M.V.M alla inspecter son jardin mais n'y décela rien de particulier. Rien n'avait disparu et aucune trace au sol n'était visible, même pas un trace de pas.
Ce témoignage émane donc d'un habitant de la région bruxelloise. Cependant il est intéressant de signaler que d'autres témoignages ont été enregistrés par la SOBEPS dans la région de Lessines et de Ath.

En effet, le 4 juillet 1972, à Ellezelles, un jeune fermier a été le témoin privilégié d'une apparition d'O.V.N.I. Vers 22h45, ce jeune fermier se trouvant dans une prairie attenante à sa ferme eut l'attention attirée par de brèves projections lumineuses provenant d'une sorte de nuage lumineux immobile dans le ciel. Ce faisceau descendait jusqu'au sol qu'il touchait en trois points disposés en triangle autour du témoin. Ces curieux éclairs se reproduisirent régulièrement pendant trente secondes. Ce témoignage a été confirmé par un voisin se trouvant à une centaine de mètres. Un autre témoignage a été relevé le même jour à Ath. C'est depuis le quai de la gare qu'un conducteur de la SNCB aperçoit trois disques lumineux aux contours flous et disposés en triangle. Il est à noter que les heures de ces deux observations sont cohérentes et tendraient à prouver qu'elles ne forment en fait qu'un seul et même phénomène.
Cela dit, cher membre, s'il vous arrive de rencontrer un O.V.N.I. dans votre jardin ou en prenant le train, n'oubliez pas d'en aviser le CERPI qui ne manquera pas d'y attacher le plus grand intérêt.

Ce texte avait été écrit par Paul Derobertmasure avec la mention (réf : Des soucoupes volantes aux OVNI de Michel Bougard SOBEPS)

L'auteur, hélas décédé, faisait ici référence à des faits survenus avant même la formation de l'initial GESO qui allait devenir bien plus tard le CERPI.

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