La Belgique, (aurait pu être) première puissance mondiale !
 Dans
l'état actuel des choses, cette affirmation n'est évidemment qu'une
boutade ! Mais fallait-il le dire ? S'il fallait la formuler
à nouveau aujourd'hui, cela susciterait l'hilarité totale !
Toutefois,
peu de gens s'imaginent à quel point, il y a une centaine d'années de
cela, les choses auraient pu devenir très, très différentes !
Voilà une affirmation qui en étonnera plus d'un lorsque l'on sait que la
Belgique est un tout petit pays, peuplé seulement d'un peu plus de 11
millions d'habitants, très divisé en conflits communautaires, ne
possédant qu'une armée de volontaires et n'ayant même plus de milice...
De surcroît, le pays est bordé par au moins trois autres réelles
puissances : l'Allemagne, la France et l'Angleterre qui, on l'imagine
bien, auraient tôt fait d'arraisonner ses éventuelles prétentions
belliqueuses. Il y a mieux : voilà quelques années seulement, la
Belgique a bien failli se faire annexer par les Pays-Bas ! Cette
information est également très peu connue et néanmoins bien réelle.
(J'enrage de ne plus pouvoir retrouver cet article sur le Net, qui
expliquait que la Hollande avait bel et bien eu l'intention d'annexer
notre royaume et l'on parle bien ici d'une affaire relativement récente
- quelques années, une vingtaine tout au plus... Bon !
Inutile de dire que cela n'a pas eu lieu non plus !)
Or donc, il y a seulement un peu plus d'un
siècle de cela, la Belgique aurait, selon nous, pu revendiquer la place
actuellement occupée par les États-Unis au point de vue industriel et
militaire ? Est-ce une blague ou bien sur quoi nous basons-nous
pour affirmer ce qui paraît si invraisemblable ?
Une Belgique 1900 vraiment différente...
 Vers
la fin du XIXème siècle, début des années 1900, la Belgique est
prospère, son économie et son développement industriel ont été tout
simplement époustouflants et il est très regrettable que tant de gens
l'aient (déjà) oublié, alors que ce petit pays a largement marqué de son
empreinte le monde entier...
En ces années là, Léopold II est
roi des belges et sous sa férule le pays accède au deuxième rang mondial
des puissances industrielles jusqu'en 1900 et même au delà, bien avant
la France, l'Allemagne, l'Espagne, la Suède et la Suisse. (La
spectaculaire histoire des rois des belges - Patrick Roegiers, Ed.
Perrin).
Les mines de charbon fonctionnent à plein rendement, les carrières (et
notamment celles de Lessines) "turbinent" comme ce n'est pas possible et
le Hainaut occupe d'ailleurs de très nombreux Flamands. Des usines
telles que Solvay ou Cockerill font parler d'elles tant par leur
incidence dans leurs domaines respectifs que par leur importance sur le
terrain en s'étendant sur des surfaces considérables et ce ne sont pas
les seules. Ernest Solvay, justement, se distinguera comme
chimiste mais aussi la Belgique se rendra-t-elle célèbre par la qualité
de ses ingénieurs et de ses machines, pour avoir créé le métro de Paris
et avoir pavé une immense partie des routes d'alors, le savoir-faire
belge est inédit, sa productivité est incroyable et ce ne sont pas les
inégalités sociales, pourtant manifestes et qui font tache dans ce beau
ciel bleu, qui viendront prétendre le contraire.
D'ailleurs le pays est parsemé d'une multitude de brasseries (une visite
attentive de la Belgique permettra d'ailleurs au curieux d'en trouver
les vestiges sur de vieilles façades et ce n'est pas pour rien que le
pays est connu comme étant celui de la bière !), foisonne de sociétés
philharmoniques et de fanfares, pullule d'estaminets (de nos jours, ils
disparaissent comme victimes d'une pandémie), le commerce va bon train !
Et, en parlant de trains, là aussi la Belgique est novatrice.
C'est sur son sol que les choses commencent dans le domaine avec les
toutes premières lignes (et les premiers accidents aussi) qui, très
rapidement, vont s'étendre sur des milliers de kilomètres et plus encore
en dehors de nos territoires classiques. Le Vieux Continent mais
même le monde entier vont être inondés de locomotives belges,
Nagelmakers donnera naissance à la société des wagons-lits, les
tramways belges rouleront dans tous les pays du monde ou presque !
Fabuleuse prestation que celle de la Belgique d'alors et elle ne
s'inscrit pas précisément comme un feu de paille, elle semble au
contraire être là pour durer et même encore augmenter au delà de toute
imagination.
C'est
que, en effet, Léopold II est loin d'être modeste. Il s'agit bien
au contraire d'un roi animé de la folie des grandeurs et extrêmement
expansionniste qui, a lui seul, mériterait de passer sous la loupe du
CERPI tant il laissa de mystères dans son sillage. En effet, roi
fantasque et coureur de jupons en diable, il se caractérise rapidement
pour son attachement aux passages secrets et pour les réalisations aussi
inimaginables que suspectes. Nous aurons l'occasion de nous en rendre
compte dans ce dossier.
Bien sûr, sa fortune colossale lui permet de très grandes choses, mais
sous sa coupe la démesure n'est que la norme. Ce sera notamment
lui qui inaugurera le fameux Palais
de Justice de Bruxelles, un titan
qui reste de nos jours un édifice record par ses dimensions. C'est
par son biais que la capitale se développera de manière spectaculaire,
tentaculaire et gigantesque au travers d'artères sans commune mesure
avec ce qui était fait alors, des avenues d'une largeur inouïe, des
allées, des parcs (tels le parc
Duden à Forest), des monuments, des
bâtiments à l'audace folle desquels ressortent toujours une impression
de puissance écrasante avec qui seules des villes comme New York
pourraient rivaliser.
Est-ce dans le but de rendre ses frasques privées moins flagrantes que
le roi s'entoura de tant de passages secrets, dont la totalité n'a
probablement pas encore été découverte ? On peut le supposer, du
moins en partie, mais on peut aussi douter que sa nature ait été aussi
fougueuse vu ses fréquents problèmes de santé, notamment au niveau
respiratoire (une espèce de malédiction touchant volontiers la famille
royale !), que pour pouvoir honorer autant de belles qu'il n'y avait de
passages dans de nombreuses villes ! Par ailleurs, ne devait-il
pas aussi assurer ses fonctions, lesquelles lui prenaient malgré tout
assez bien de temps. Faut-il aussi tout mettre sur le compte de
conquêtes féminines lorsque l'on sait que, parmi lesdits passages, il
s'en trouvait d'un luxe prodigieux : des pièces entières qui
s'escamotaient pour donner accès à des suites impériales dont la
décoration aurait fait pâlir de jalousie les plus grandes vedettes
mondiales du showbiz ? On parlait notamment d'abondance de
matières précieuses, de guirlandes d'ampoules électriques toutes en
cristal. Mais, chose plus curieuse encore, on a découvert une voie
ferroviaire secrète qui reliait le palais de Laeken au centre ville de
Bruxelles. Pour assurer le transfert, c'était de wagons et de
trains féeriques ou de tramways royaux dont il s'agissait. S'il
est clair que Léopold II aimait s'entourer de mystère et disparaître tel
un passe-muraille, s'il a sans aucun doute profité de ce genre
d'agréments pour assouvir ses passions illégitimes, il faudrait croire
qu'il prenait un soin totalement disproportionné à assurer son pouvoir
de séduction par autant d'artifices dégoulinants de richesses...
Pourtant, jusque là, si l'état de la Belgique
est réellement remarquable et surprenant, il n'en reste pas moins vrai
que rien de convaincant ne se présente sur le plan militaire et ce, même
si Léopold II a également pris soin de renforcer considérablement son
armée. C'est devenu un "très petit pays prospère", un petit clan
très dynamique, un nain aux muscles d'acier ou encore une grande
puissance en format de poche. Mais là aussi les choses vont
changer et pas qu'un tout petit peu !
Poursuivant son tempérament expansionniste,
Léopold II fait l'acquisition du Congo, lequel devient donc colonie
belge. Presque du jour au lendemain, c'est un formidable potentiel
qui s'offre à un pays qui est déjà le carrefour de l'Europe. Avec
le Congo, la superficie de la Belgique est virtuellement multipliée par
quatre-vingts, sa population passe de sept millions à septante millions
environ. Dans la foulée signalons aussi que la Belgique entre
également en possession du Rwanda et de l'Urundi, ce qui rend les
chiffres plus vertigineux encore ! De l'un des plus petits pays
d'Europe, la Belgique devient l'un des plus grands du monde, un
véritable continent !
Évidemment, la Belgique doit s'occuper de ces colonies et veiller à leur
développement. La manière ne manquera pas d'être décriée et c'est
vrai que tout ce qui a pu se passer notamment au Congo ne sera pas
toujours particulièrement joli ! C'est le moins que l'on puisse
dire et ce serait injustice de prétendre le contraire. Le Roi des
Belges se sera rendu responsable d'une page noire de l'histoire du pays
! Certains diront que Léopold II, qui ne mettra jamais les pieds
au Congo, eut beaucoup de sang noir sur les mains...
Certes, il sera indéniable que l'intervention de la Belgique aura
profité à ce continent noir, des milliers de kilomètres de voies ferrées
seront construits, il y aura une nette amélioration des conditions de
vie (du moins pour certains), un développement général incontestable.
Mais il sera vrai aussi que la Belgique en tirera largement les marrons
du feu, en caoutchouc, en diverses matières typiquement locales, mais
aussi en ivoire, en or, en argent, d'autres matières précieuses telles
que le diamant. Et puis, coup sur coup, deux points essentiels
qui, ajoutés aux précédents déjà absolument prodigieux, viennent donner
à la Belgique la possibilité de se mettre définitivement sur orbite,
même sur le plan militaire ! L'uranium et la technologie belge,
spécialisée dans l'ingénierie, produiront sans problème la fameuse et
terrible bombe atomique !
Certaines recherches personnelles ont permis de mettre en évidence que
le sol congolais était également riche en minerais particuliers
permettant le développement d'armes secrètes qui, à présent, sont
probablement entre les mains d'autres nations. Devinez lesquelles ?
Ce point à lui seul aurait pu assurer la suprématie, militaire cette
fois, de la Belgique sur tout autre pays ! Grâce à cette
technologie avancée, il suffisait de très peu d'hommes pour en
arraisonner (et en trucider) des milliers, voire des millions !
Autre point généralement complètement méconnu du public et qui provient
en droite ligne de nos réseaux parallèles bien informés : la Belgique
dispose bel et bien de ses propres gisements de pétrole, loin d'être de
minuscules nappes insignifiantes ! Il est d'ailleurs étonnant que
cette information, qui a malgré tout aussi été surprise lors
d'une émission radiophonique officielle qui la confirmait, n'ait suscité
aucune réaction auprès de la population !
Pour en revenir au seul Congo, certains
s'imagineraient peut-être que malgré sa vastitude, celle-ci ne serait
finalement que peu intéressante: de la brousse, des arbres et des
sauvages primitifs... Voilà qui serait une lourde erreur et pas
seulement à cause de la richesse phénoménale du sous-sol entre autres.
En effet, à l'époque et surtout sur ses terres, le Congo dispose d'une
armée réputée invincible qui se compte par centaines de milliers de
soldats. Et il ne s'agit pas d'espèces de "pygmées", non !
Le guerrier congolais mérite de meilleures comparaisons. Il
convient ici de rappeler que cette armée noire jouera un rôle très
important et souvent méconnu dans de nombreux combats victorieux qui
eurent lieu lors de la seconde guerre mondiale. Grâce à la
Belgique, certains militaires congolais reçoivent des fusils d'un tout
autre calibre (c'est le cas de le dire !) qui peuvent tirer plus de
cartouches, plus rapidement et surtout "même sous la pluie" là où leurs
anciens devenaient complètement inoffensifs à la moindre intempérie !
Là où l'on sait que les conflits belliqueux impliquant les congolais
voient un comportement d'une solidarité remarquable (le père est au
combat, les enfants récoltent les denrées nécessaires et portent au
front la nourriture préparée par la mère, une véritable entreprise
familiale !) là où l'on imagine bien que la Belgique, si elle est
capable d'inonder le monde de matériel roulant sur rails et d'établir
des communications parcourant des distances énormes, on peut se
représenter le cocktail détonant d'une pareille collaboration !
Le sujet est beaucoup plus complexe qu'il
paraît et nous renvoyons le lecteur désireux de plus amples
renseignements à la documentation
de Wikipédia.
Il y a aussi une petite cerise sur le
gâteau : un point tout à fait attesté historiquement. Il fut un
temps ou le roi des belges faillit bien devenir également le premier
français ! Avouez que vous n'en êtes pas à votre premier
étonnement à la lecture de cette page et pourtant, il ne s'agit
nullement d'une fanfaronnade, d'une invention ou quoi que ce soit, c'est
au contraire parfaitement exact. Sauf que, finalement, cela n'eut
jamais lieu !
Imaginez donc la conclusion suivante :
Conclusions
Tout se calcule évidemment avec des "si", bien
que ces hypothèses ne furent pas si loin d'aboutir...
Si les choses en étaient restées comme elles étaient dans les années
1900 environ, c'est-à-dire avec une Belgique occupant la deuxième place
au rang mondial des puissances industrielles, si une meilleure politique
et peut-être une exploitation plus saine avaient permis de conserver le
Congo et donc si le pays de Jacques Brel avait pu développer
militairement les ressources du continent noir, on ne peut nier que la
Belgique aurait effectivement pu devenir la première puissance
industrielle, économique et même militaire du monde ! Sa puissance
se serait distinguée dans tous les domaines sans exception, tant par la
superficie (Ajoutez à la Belgique, la France et ses territoires
d'outre-mer, le Congo, l'Urundi et le Rwanda, faites le calcul et voyez
ce que vous obtenez ! Pour vous aider, sachez déjà que le Congo a
lui seul fait : 2345000 km2) la puissance démographique
(désormais, cela ne venait plus à quelques dizaines de millions de
personnes près !), la puissance nucléaire (le Congo est devenu le
premier fournisseur d'uranium des USA), les armes secrètes, le pétrole,
les matières premières, l'ingénierie, la main d'oeuvre, l'intendance,
les communications... tout y était !
On le sait, les choses se passèrent tout
autrement. Le charbon cessa progressivement d'être exploité, les
carrières s'arrêtèrent, même les brasseries se mirent à disparaître les
unes après les autres, Bruxelles - future capitale de l'Europe (au
moins !) allait être ravagée par une monstrueuse politique de
modernisation pour lui faire ressembler à New York, y compris avec ses
taxis oranges - la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf
!, (sauf que ne subsistaient plus que les timides tentatives
d'imitations n'assurant aucunement ses arrières !) deux guerres mondiales survinrent qui ravagèrent
non seulement la Belgique mais l'Europe entière et les pôles d'intérêts
changèrent au profit des américains et des anglais. Léopold II ne
régna jamais sur la France, demeura un roi incompris et mal aimé de son
peuple. Ce dernier ne comprit jamais vraiment l'intérêt du Congo,
ne voulut pas s'investir dans un pays si lointain, si étranger (une
façon bien commode d'éviter le terme de "racisme" !)
Les belges ne suivirent pas leur souverain dans ses visées
expansionnistes. Peut-être le Palais
de Justice leur était-il resté au
travers de la gorge. Beaucoup d'agissements secrets du roi furent
mis à jour et choquèrent, même s'il en est au moins autant qui restèrent
à tout jamais dans l'ombre et participent largement à cette histoire. Le
Congo cessa d'être colonie belge et devint indépendant. Le reste
devient de l'histoire récente et rentre dans les normes.
Mais à nos yeux, il demeure des traces, des vestiges bien tangibles,
concrets, réels, indiscutables, de toute une trame bien mystérieuse,
faite de passages secrets (un peu partout dans le pays, que ce soit à
Bruxelles (surtout), mais aussi au littoral, dans beaucoup de villes de
l'intérieur que ce soit en Flandre ou en Wallonie, qui menaient à
des ambassades privées et lieux de réunions occultes... Nul doute que
l'empreinte de ce grand roi se remarqua fièrement à la lueur du jour par
une écrasante puissance et un potentiel inimaginable, mais qu'elle se
manifesta également par des agissements nébuleux aux desseins
diaboliques et très critiquables.
Quels étaient précisément ces desseins si
mystérieux et ont-ils une réelle substance ? Entendez par là :
est-ce qu'il s'agit réellement d'un mystère, d'agissements vraiment
occultes ou de simples suppositions, hypothèses ou ressentis ? Il
est impossible de répondre à cette question sans prendre connaissance au
préalable des différentes pièces du dossier que vous avez sous les yeux
actuellement et qu'il vous reste à découvrir. Si une certaine
partie relève effectivement de simples ressentis avec tout le doute qui
peut accompagner la faiblesse de tels arguments mais aussi avec des
coïncidences plus que troublantes, d'autres éléments viennent relever le
goût de mystère de l'affaire : Léopold II, lui-même sous la loupe du
CERPI pour son tempérament très occulte, sait s'entourer de personnages
qui ont la fâcheuse tendance à appartenir à la même sphère bizarroïde.
Ce sont les Solvay, les Anspach, les Poelaert, les Horta, mais aussi
bien d'autres que vous apprendrez à connaître, qui constituent bien vite
une espèce de "garde d'honneur" et participent apparemment eux aussi à
des interventions plus que louches. Pratiquement toutes les grandes
affaires qui concernèrent les belges gravitent autour des mêmes noms.
Lorsque l'on voit leurs réalisations post-Congo belge, on ne peut que
s'interroger sur les motivations réelles car elles ne relèvent que de
folies destructrices, d'hérésies monumentales, d'aberrations
épouvantables qui plongent le pays et principalement sa capitale dans un
chaos indescriptible. Le seul progrès est bien impuissant à
expliquer cela ! Des porte à faux incommensurables réduisent à néant la
seule volonté de faire de Bruxelles une deuxième New York, la prospérité
du pays est étrangement prise à contre pied par l'humanité pure et
simple. Il est impossible de ne pas imaginer que d'autres intérêts
soient en jeu. Des intérêts d'un enjeu grandiose comme seul
Léopold II pouvait rêver !
Mais qui semblent se poursuivre en
coulisses...
Note sur les
photos : en reconstruisant ce site, j'ai rapatrié des terras de
documents de toutes sortes et notamment d'images, en provenance de
l'ancien site. Ce dernier était alimenté, entre autres, par
quantité de correspondants qui avaient pour consigne d'être respectueux
des droits d'auteurs mais qui n'ont peut-être pas toujours suffisamment
surveillé ce point. Dans l'état actuel des choses, face à cette
quantité colossale, je ne peux pas tout vérifier. ce serait
humainement impossible ! Si certains s'estiment lésés des
publications figurant ici, j'attire leur attention sur les points
suivants :
- Il y a absence totale de mauvaise intention de ma part.
- Il y a absence totale de but commercial (le CERPI a toujours été
totalement bénévole et le restera. Je n'ai pas changé d'optique)
- Je vous invite, le cas échéant, à prendre contact avec moi soit : 1)
pour mentionner clairement la source originale, avec lien hypertexte,
remerciements, excuses, etc. 2) supprimer éventuellement la publication
du ou des documents concernés.
En tout état de cause, retenez bien que je ne veux nuire à personne, pas
plus que j'apprécie que l'on me nuise. Si vous êtes concerné,
veuillez dès à présent accepter mes excuses !
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