Échelon (3 suite)
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Le CERPI et ses collègues (qui, eux, n'ont probablement pas les mêmes rapports
avec la Russie et les pays de l'Est) a constitué un réseau de correspondants dépassant largement les frontières belges et il
existe donc un volume assez conséquent d'informations que véhiculent les emails. Il est parfaitement logique que,
dans ces entretiens, figurent des mots tels que UFO, Roswell, Merlin, Cosmos, Zen, E.T, SABENA, président, ou " type 1" ou
"type 2", pour ne citer que ceux-là. Or, ils figurent bien dans la liste des mots-clés utilisés par Échelon (au même titre
que spoke et spook qui signifient "fantôme" en néerlandais, la deuxième langue nationale). Il semble clair que la fréquence à laquelle ces mots reviennent
dans les communications émanant du CERPI ou lui parvenant, conjuguée aux accointances
précitées attire l'attention de la NSA. Cela ne veut pas forcément dire que les renseignements américains y accordent une
grande importance (depuis le temps, ils doivent y être familiarisés...) mais il ne fait aucun doute que cela nous fasse
sortir du lot.
Malgré tout cela on a encore du mal à imaginer qu'une organisation aussi
importante que la NSA puisse seulement connaître le CERPI et encore moins s'y intéresser. Il y a cependant d'autres
façons de voir les choses.
Si, entre 89 et l'an 2000, les performances du groupement se sont présentées en dents de scie, le nouveau millénaire semble
présenter les choses de toute autre manière. Il est clair que la progression est époustouflante et que de gros moyens sont
dégagés afin d'arriver à des résultats très ambitieux et néanmoins réalistes. Mais comme le font tous les
groupements du même genre, le CERPI s'est aussi adjoint, directement ou indirectement, les services de sommités
représentant diverses disciplines et entretient des rapports plus ou moins étroits avec d'autres groupements tels que la SOBEPS
(devenue le COBEPS), dont
les accointances avec l'armée sont probantes.
Par ailleurs, le CERPI ayant repris les potentialités techniques de Belgasites et les ayant même perfectionnées, cela représente
un ensemble d'ordinateurs disséminés un peu partout dans le royaume mais aussi dans le monde entier et s'il est vrai que
Microsoft agit en complicité avec Échelon, gageons que tout cela ne soit pas passé inaperçu.
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Soit, direz-vous, admettons que le réseau Échelon connaisse
le CERPI et s'y intéresse ou du moins le surveille. Mais en quoi constituerait-il une menace pour les intérêts américains ?
Il nous semble ici primordial de considérer les choses dans la même optique
qu'Échelon, c'est-à-dire de manière très pragmatique et avec l'esprit tordu dont nous parlions précédemment. Cela
semble tout à fait opportun vu le type d'activités du groupement et ce qui a déjà été dit, à savoir notamment les possibilités
techniques et surtout les accointances avec les pays de l'Est. |
A la manière du joueur d'échecs chevronné, il ne convient pas uniquement de
développer sa propre stratégie et d'échafauder de savantes combinaisons destinées à remporter la victoire finale mais
également de prévoir les réactions éventuelles de l'adversaire. On a, selon nous, trop tendance à considérer comme de la
science-fiction la possibilité que le CERPI dégage un élément essentiel dans l'étude des phénomènes célestes dont les OVNI
sont les représentants favoris. En fait, ce serait parfaitement possible pour tout groupement similaire mais à qui
s'adresserait-on prioritairement en cas de manifestation supposée d'origine extra-terrestre ? Compte tenu de la
formidable montée en puissance du CERPI, il semble qu'il n'y ait pas photo ! Mais c'est surtout la théorie inverse qui
mérite l'attention. En effet, le CERPI est désormais connu non seulement pour ses analyses rigoureuses mais également pour
sa manière très personnelle et redoutablement efficace d'envisager les phénomènes sous un angle différent.
Imaginons donc le contraire, soit que les États-unis disposeraient de données particulièrement sensibles quant aux UFO (une théorie que soutiennent pas
mal de gens) et qu'ils garderaient jalousement. Ne suffirait-il pas que nous arrivions aux mêmes conclusions, éventuellement par d'autres
moyens, pour entraîner une fameuse pagaille que la NSA serait loin de souhaiter ? |
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Prenons maintenant le cas des perceptions extrasensorielles, la
médiumnité. Le CERPI n'a t-il pas fait une démonstration assez éclatante de ce que la perception et la transmission de
données en principe inaccessibles était possible ? Dès lors, même s'il est vrai que nous faisons encore figure de
petits poucets en la matière, n'est-il pas également vrai que tant l'Ours de l'Est que l'Aigle de l'Ouest ont dépensé des
fortunes respectivement en roubles et dollars afin d'arriver à de tels résultats. N'est-il pas vrai également que
l'utilisation de la transmission de pensée, la psychokinèse et ce genre de phénomènes constitueraient de réelles armes pour
toute grande puissance ?
Le CERPI, au travers d'expérimentations indiscutables selon nous, a démontré non seulement que ces phénomènes étaient réels, donnaient de
bons résultats et, dans le cas présent, nous devrions ajouter que ce type de transmission très particulier échapperait théoriquement et
totalement à toute investigation de la part d'Échelon, mais en plus que nous étions à même de les mettre en oeuvre ! Or donc, en
l'occurrence, ce n'est pas tellement l'information qui constitue une menace mais le fait qu'elle puisse court-circuiter leur système !
Voilà qui devrait les intriguer, les faire fulminer, qui représente en tous cas la possibilité de fuites dans les renseignements. |
On pourrait aussi s'aventurer à émettre des hypothèses beaucoup plus
farfelues dans l'immédiat et celles-ci pourraient pourtant se révéler exactes. Il est en effet possible de trouver dans
nos pages la narration de faits absolument authentiques quant à des coïncidences extraordinaires survenues à certains de nos
membres haut placés. Il est nécessaire de lire les pages en question pour se rendre à l'évidence.
Sur base de ces faits, aussi étranges qu'indiscutables, et d'autres aussi, il est permis de penser que le CERPI pourrait
réussir une opération aussi spectaculaire que fructueuse qui lui assurerait des avantages déterminants. Grâce à des appuis
inopinés et pourtant bien réels, les choses se présentent souvent à nous de telle manière qu'il ne serait pas ridicule que
nous puissions décrypter le mystère de Rennes-le-château tout en emportant en même temps les quarante camions d'or qu'il
décèle... Lorsque l'on voit des découvertes telles celles de Nag Hammadi ou de Qumran, réalisées par de simples bédouins,
pourquoi le CERPI ne découvrirait-il pas l'Arche d'Alliance, ce qui permettrait de faire un remarquable clin d'oeil à Indiana
Jones ? Évidemment, exposé comme ça, l'affirmation semble surtout humoristique. Elle prête cependant moins à rire
lorsque l'on sait que le CERPI dispose de documents historiques attestant de la présence de cette "arme absolue" à seulement
quelques kilomètres de son siège ! Les choses paraissent aussi moins ridicules quand on sait qu'il ne serait pas
absolument impossible que le célèbre Nicolas Flamel ait réussi
la transmutation alchimique, imité en cela par le belge Van
Helmont, lequel a une rue à son nom tout près du domicile de l'un de nos membres bien en vue et que, de nos jours encore, le
sous-sol bruxellois révèle encore des trésors fabuleux. Non ! Les États-unis ne perdent certainement pas de vue que
la vieille Europe dispose encore de pas mal de ressources cachées et qu'il suffirait d'une découverte du type de celles
dont nous venons de parler pour bouleverser les tendances actuelles et la suprématie américaine.
Tout ceci reste cependant très hypothétique, voire utopique. Mais ce n'est ni Einstein, ni Newton, ni Pierre et Marie Curie
qui diront le contraire : les grandes découvertes proviennent plus souvent des petits, des obscurs, que des grands
laboratoires hyper puissants... |
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Suite de l'enquête
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