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L'espion
espionné...
Il existe deux points (empressons-nous de signaler qu'ils sont tous deux
rigoureusement authentiques, l'humour n'a donc pas sa place ici) que ne peuvent connaître les personnes qui ne sont pas membres
ou correspondants du CERPI. Le premier point réside dans le fait que par le truchement de différentes personnes (hé oui,
il s'agit bien d'un pluriel !) le CERPI a pu, depuis longtemps également, s'assurer les services de certaines autorités parmi
lesquelles figurent non seulement la Police Fédérale belge mais également la Sûreté de l'État, plusieurs ambassades et quelques
bureaux d'investigations. Par ailleurs, certaines affaires traitées par le groupement nous ont permis d'accéder
indirectement au FBI et à des cellules spécialisées. Sans le savoir, Échelon est donc pris à son propre piège via des
"agents doubles". Bien évidemment, le même Échelon pourrait en être avisé par la lecture de cette page, à condition
de disposer des moyens d'y accéder. Nous ne nous faisons aucune illusion à ce propos, voilà qui est tout à fait dans
l'ordre de ses possibilités. C'est la raison pour laquelle nous avons mis en place un système de protection multiple qui
n'offre que deux possibilités : soit la technique utilisée est entièrement automatisée et s'arrête forcément à la seconde
itération, soit elle est manuelle et nous pouvons l'identifier sans utilisation du moindre cookie. Dans ce cas, on
aboutit à la fameuse situation dans laquelle chacun sait que l'autre sait... |

D'autre part, on sait que la NSA détourne les lois de son propre pays et son
4ème amendement interdisant l'espionnage de ses citoyens. Il lui suffit pour cela d'ordonner que la tache soit remplie par
l'une de ses succursales situées à l'étranger. Nous ne sommes évidemment pas concernés par ce type de problème mais il
nous a permis d'en imaginer un autre. Que nous gardons pour nous celui-là ! Ces deux systèmes sont rigoureusement
exacts, légaux et opérationnels. |