Centre d'Études et de Recherches

sur les Phénomènes Inexpliqués

Physique quantique et mondes parallèles

La physique quantique a ceci de particulier qu'elle se base sur un mode probabiliste et non déterministe comme cela avait toujours été le cas auparavant. Comme expliqué dans l'article sur la physique quantique. A partir de là, on peut dire en schématisant très fort, qu'il "suffit" d'évoquer une possibilité à propos d'une hypothèse pour que celle-ci se vérifie instantanément dans un monde parallèle créé spécialement à cette intention !
Évidemment, pour qui n'est pas préparé à ce genre d'affirmations, il y a de quoi pousser de hauts cris. Ainsi donc, si je me dis : "J'aurais du ouvrir cette fenêtre à midi" alors que je ne l'ai pas fait, il existerait soudain un autre monde dans lequel je l'aurais fait. J'imagine la vague de protestations qui peut faire suite. La première qui vient à l'esprit est :
"Cela prendrait rapidement beaucoup trop de place, vu le nombre d'hypothèses possibles sur seulement une journée !" - et :
"De toute façon, à quoi cela pourrait-il bien servir ?"
Il est toutefois facile de répondre à ces questions par l'absurde :
"Nous n'avons aucune connaissance de planètes se trouvant à des milliards d'années lumière de la terre, elles ne semblent jouer aucun rôle dans notre existence quotidienne et pourtant cela ne les empêche nullement d'exister".
"Le problème de la place ne se pose plus à partir du moment où l'on peut imaginer que de toute façon un espace suffisant est créé dès qu'on s'en pose la question. Pour ce qui est de mettre la réponse en doute : c'est déjà fait ! Et voilà les détracteurs pris à leur propre piège !
Continuons dans la même "logique" et disons-nous que le fait d'en douter génère donc un monde où il n'y a pas assez de place et un autre où tout ceci n'est pas possible.
D'accord, ce à quoi tout bon mathématicien devrait rétorquer que tout ensemble contient effectivement l'ensemble vide !
Il vaut mieux se le dire tout de suite : les théories de la physique quantique n'ont, à ce jour, en aucune façon pu être infirmées. Mieux : plus on avance dans les recherches et plus on se rend compte que tout cela n'est que parfaitement exact !

Continuons en faisant référence à Georges Lemaître, physicien belge, qui est à l'origine de la théorie de l'univers en expansion et père du "Big Bang" : en effet, depuis le début, le monde n'arrête pas de s'agrandir, de prendre de l'ampleur. Voilà d'ailleurs déjà bien des années que l'homme s'est fait à cette idée qui pourtant pouvait paraître aberrante. Il se fait que nous sommes trop habitués à voir les choses avec des limites omniprésentes. Dans notre quotidien, il y a des limites partout : des murs, des fenêtres, nos propres habitudes... En explorant la planète, on s'est rendu compte qu'il existait d'autres continents, d'autres peuples, de biens étranges coutumes, des animaux jusque là inconnus et bizarres, des choses presque impossibles à notre entendement. Le grand voyageur est souvent devenu moins prompt à s'étonner que le villageois qui n'a jamais quitté son petit patelin...

On peut donc l'affirmer : l'existence de mondes parallèles ne fait actuellement plus aucun doute. La plupart doivent probablement être beaucoup moins étranges et spectaculaires que ce que l'on a pu imaginer dans les récits de science-fiction, mais la description de ceux-ci peut aussi relever de tout ce que notre imaginaire peut avoir de farfelu ou de dément. Il n'y a théoriquement plus de limites, sauf que, pour l'instant, nous sommes toujours tenus de rester dans ce même monde que nous connaissons...
Pour l'instant !

Il reste à savoir que les interactions entre les différents éléments du plurivers sont non seulement possibles mais ont, en plus, déjà été constatées. Cette fois, tout espoir devient permis. Demain, peut-être pourrons-nous explorer ces autres mondes, tout comme certains d'entre nous commencent à aller passer leurs "vacances" sur la lune.
Toujours septiques ? Alors dites-vous qu'en 1900, si on avait parlé de "décrocher la lune", cela aurait suscité pas mal de moqueries.
L'Homme l'a fait en 1969.
C'était il y a bien plus de cinquante ans...