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sur les Phénomènes Inexpliqués

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Historique du CERPI

LE GESO DES DÉBUTS...

Le CERPI doit ses origines à une modeste bande de copains qui avaient en commun leur intérêt pour les phénomènes mystérieux. Il s'agissait de camarades de classe, de collègues de travail, de connaissances et de flirts... L'ambiance était à la convivialité, à la bonne humeur, à l'humour et même aussi un peu à l'étude... 
A cette époque, qui remonte au 26 février 1980, le groupe s'appelait "GESO" (Groupe d'étude des Sciences Occultes) et se situait à Bruxelles. Malgré ces origines modestes, le GESO connut parfois un succès retentissant, notamment au cours de certaines investigations rondement menées et il était promis à un bel avenir.

Mais la vie a de ces aléas qui ne préviennent pas !   La fin des études, le service militaire, les déménagements ou départs pour l'étranger, les obligations professionnelles, les accidents, la maladie ou même la mort finirent par placer le groupe sous l'éteignoir.
Il y eut donc un "creux de la vague".
Toutefois, sous l'impulsion de Belgasites (un important réseau belge de Webringing aujourd'hui disparu à son tour), le groupement allait renaître de ses cendres, d'abord sous la forme d'un site Internet et d'une poignée d'inconditionnels, puis grâce à un réseau de correspondants et de spécialistes de plus en plus étoffé.

Le CERPI est aujourd'hui bien loin de l'époque de pionniers décrite ci-dessus.  Les péchés de jeunesse, l'inexpérience, sont loin derrière !  Mais pas question de laisser tomber humour et convivialité !

LE CEPI

L'évolution était donc en marche... Le GESO de la fin des années 90 avait déjà repris sérieusement du poil de la bête (et le taureau par les cornes), ses progrès étaient considérables.  Il était évident que le Net lui avait accordé la cure de jouvence et le coup de pouce nécessaire à le remettre sur orbite.  Néanmoins, c'est le nom lui-même, "GESO" (Groupe d'étude des sciences occultes) qui ne collait plus vraiment avec son époque.  De plus "sciences occultes" faisait mauvais genre, sans compter qu'il y avait longtemps déjà que le groupement ne se limitait plus au surnaturel et au paranormal et se lançait dans des études sur la physique quantique, certains phénomènes naturels peu connus, l'ufologie...

On lui préféra alors les initiales CEPI pour Centre d'étude des phénomènes inexpliqués, plus actuel et approprié.
  
  Le CEPI, malgré une durée de vie relativement courte continua la progression entamée par le GESO, une progression fulgurante qui semblait exponentielle et incontrôlable.  Il connut également de très beaux succès, lesquels sont relatés dans nos pages.  Mais il s'agissait donc bel et bien toujours du même groupement avec, à de très rares exceptions près, la même équipe.

Mais le groupe n'avait pas encore totalement terminé sa mutation...

LE CERPI

 
Il ne manquait pas grand chose pour que le groupement trouve sa forme actuelle mais le déclenchement des opérations vint d'un coup de sang de l'administrateur principal qui n'apprécia pas du tout que l'ancien hébergeur du GESO et du CERPI rende l'accès du site impossible pendant plusieurs jours et se permette même d'effacer la totalité des fichiers présents dans le répertoire distant, sans autre forme de procès, sans un mot d'explication ni d'excuse !  C'était un manque de professionnalisme coupable qu'il ne pouvait tolérer.  Faire si peu de cas des Internautes était une faute impardonnable.  C'est pourquoi il décida de s'adresser à (beaucoup) plus compétent.
  
Dès qu'il eut fixé son choix cependant, un nouveau problème se présenta: le nom de domaine cepi.be n'était plus disponible.  Ni en .be ni en quoi que ce soit d'autre d'ailleurs si bien que la seule solution était d'encore changer le nom du groupement.  Il considérait pourtant à juste titre qu'il n'était pas bon de procéder de la sorte, de changer trois fois de nom en si peu de temps !  C'est pourquoi on trouva un compromis : on ajouterait seulement le R de "recherche" à CEPI (qui le sous-entendait déjà) et la difficulté s'en trouverait contournée.

   
Il ne restait dès lors "plus que" le rapatriement de toutes les données de l'ancien site à assurer et à insérer dans le nouveau en lui ajoutant encore de nouvelles fonctionnalités et son look pro que vous connaissiez.  Un travail de titan !
Mais croire que l'histoire du CERPI allait se limiter à cela serait une grosse erreur...  Le plus beau, le plus gros, le plus fameux allait seulement arriver...

 
Le CERPI disposait donc à cette époque d'une réputation solide, mais son aura demeurait malgré tout encore assez limitée à la Belgique et quelques régions limitrophes, en dépit de certains correspondants représentants des pays lointains.

C'est là que M. Vanbockestal, le cofondateur du groupement allait avoir plusieurs idées de génie.  Tout d'abord, si le réseau Belgasites avait cessé ses activités, les différents sites associatifs réalisés, eux, demeuraient présents, actifs et concernaient un nombre considérable de personnes.  Il se mit en tête de concilier l'inconciliable et de réunir des activités très différentes à une même cause.  Ainsi, Philagodu agissait en parallèle et alimentait le site du CERPI en sujets de fond connexes abondamment illustrés et ces illustrations, bien que philatéliques, se retrouvaient en partie dans nos pages : un habile système de vases communicants, sans aucune confusion de patrimoine, qui assurait aussi un rôle promotionnel réciproque et donc mutuellement avantageux.  D'un autre côté, il parvint à rallier New Belgaria à sa cause, ce qui entraîna une formidable ouverture vers les pays de l'Est, trop souvent négligés.  En procédant ainsi, les paramètres de référencement s'en trouvaient très fortement améliorés.

Avec la cessation des activités de la SOBEPS, le CERPI reprenait le flambeau de l'ufologie après sa période d'allégeance et s'en trouvait débridé.  Du coup, des anciens de la défunte société belge si prestigieuse vinrent progressivement rejoindre les rangs du groupement.  Après une émission radiophonique massacrée par une bande d'amateurs, le leader du CERPI allait avoir le toupet de remettre le couvert en visant bien plus haut et il fut reçu, avec Monsieur Jean-Jacques Ghesquière, dans les studios de BEL-RTL, dans l'émission de Michel Zecca, le très populaire animateur belge, "Beau-fixe".

L'émission fut un succès retentissant : du jamais vu !  Le standard téléphonique avait été pris d'assaut et longtemps après l'émission, celui du CERPI subissait le même sort !  Le groupe était en pleine crise de croissance !

C'est alors que le CERPI, déjà allié à l'AREPS, allait encore réussir des coups fumants, notamment lors d'une opération Suricate où il développa des postes d'observation jusqu'en Sibérie, une prouesse pour un "club" belge !  Bien sûr, le partenariat avec l'Opération Suricate allait être établi et ceux des Repas Ufologiques (la plus importante association française en matière d'ufologie) et de la Centrale Ufologique française allaient suivre : des alliés précieux qui étendraient indirectement la zone d'influence à toute la France.  Travaillant toujours d'arrache-pied, M. Vanbockestal avait aussi d'ores et déjà établi d'étroits liens avec Ellezelles-on-line et Hoaxbuster.com.

Manifestement, on pouvait prévoir que le CERPI était lancé et que son ascension, fulgurante, n'allait pas s'arrêter en si bon chemin...

Au début 2010, le CERPI fut à deux doigts de réaliser l'opération du siècle dans une entreprise de réunification des communautés linguistiques belges sur le plan ufologique.  En effet, une association néerlandophone se proposa dynamiquement et opportunément pour assurer cette mission ô combien périlleuse en regard des problèmes politiques belges.  Tout se présentait bien et une mémorable réunion à Bruxelles, au mois d'avril, sembla couronner cette association.  Elle eut au moins le mérite de souder les liens d'amitié entre M. Vanbockestal et Gérard Lebat (les Repas Ufologiques) mais aussi avec Monsieur Patrick Ferryn (du COBEPS), les représentants du CCRU et d'autres encore.

Il fallut cependant déchanter car dès la première sollicitation, le côté néerlandophone fit faux bond et ne donna plus aucune nouvelle.  Etrange comportement totalement dépourvu de justification.  Retour à la case départ, ou presque puisque, on l'a vu, il y avait malgré tout du (très) positif.

Il y eut alors toute une période sombre, qui ne s'échelonna que sur quelques mois, mais des mois de calvaire pour le fondateur du CERPI.  Gravement malade, M. Vanbockestal du développer une force de caractère hors du commun, un courage héroïque pour remonter la pente.  Comme cela arrive parfois, le hasard (?) s'acharna sur lui, ne lui épargnant aucun obstacle.  La maladie dont il était atteint connaissait des complications, les efforts consentis ne se voyaient couronnés que par de nouveaux handicaps, au sortir de l'hôpital sa voiture fut même vandalisée, on assista à une défection massive de la participation aux Opérations Suricate et, malgré tout, il parvint encore à tenir la dragée haute à l'adversité, déployant des trésors d'ingéniosité.  A peine remis de sa maladie principale que d'autres ennuis de santé, moins graves mais très gênants et douloureux, l'obligeaient à subir une lourde médication et tout ceci retarda considérablement ses projets.  Pendant ce temps, de nombreuses attaques informatiques étaient découvertes, de petits plaisantins, inconscients de la chance inouïe qu'ils avaient momentanément obtenue de faire partie du groupement se distinguèrent aussi par leur "sens particulier de la collaboration" et jouaient des tours pendables au CERPI.

Mais il devait être dit que "le moteur du CERPI" est increvable !  Dès que ce fut de nouveau possible, M. Vanbockestal reprit l'ensemble de ses activités et les résultats ne se firent guère attendre.  Le groupement put ainsi encore établir de nouveaux partenariats, notamment avec La Porte du Temps, puis avec les Templiers de l'Espace et Activa-Cortex.  On n'arrête pas un train en marche !
Cela se concrétisa encore par lorsque M. Weissmüller désigna le CERPI comme organisme exclusif pour les opérations Suricate en Belgique, par d'étroits liens avec les Editions Jourdan, mais aussi avec les Editions de l'Arbre, qualifiés momentanément de "partenariats tacites".  Pour peu, nous en oublierions bien, dans cette longue énumération les Productions Alain Stoll, qui réalise pourtant du si bon travail...

Tout ceci permettait d'imaginer de futures réalisations très médiatiques, dont l'impact pouvait être considérable.

Et c'est bien ce qui se produisit.  Coup sur coup, à cheval sur la fin 2010 et jusqu'au milieu 2011, le CERPI démystifia complètement l'affaire de la maison de Hem, maison qui - jusque là - avait la réputation d'être la maison la plus hantée de France, il résolut l'affaire des "fleurs maudites", puis, mis au courant de ce que quelque chose se passait à Petit-Rechain par Samuel Ledoux, M. Vanbockestal mit le CERPI et la Porte du Temps sur l'affaire, avec succès d'ailleurs.  Parallèlement, M. Vanbockestal publiait aussi son premier livre "Les Phénomènes Inexpliqués en Belgique" et, cerise sur le gâteau, s'attaquait même à la fameuse affaire d'Arc-Wattripont, la maison réputée pour être (ou avoir été) la maison la plus hantée de Belgique, une affaire sur laquelle les plus grands spécialistes s'étaient jusque là cassé les dents.  Tout se présentait donc pour le mieux pour ce CERPI là qui avait décidément le vent en poupe.

Mais il était dit que le sort - et de méchantes gens, des jaloux de la pire espèce ou d'autres animés de motivations par trop compréhensibles de représailles, allaient recommencer à s'acharner sur le CERPI.  D'une part, M. Vanbockestal connut de nouveaux ennuis de santé qui, s'ils furent moins longs dans le temps, n'en laissèrent pas moins présager le pire, d'autre part les collaborations avec Suricate et l'AREPS ne purent pas être prorogées suite à certains différends relatifs à la situation de terrain en Belgique, mais surtout une émission de télévision et un journaliste hypocrite se mirent en tête de ridiculiser complètement le monde du surnaturel et celui du paranormal, et avec eux, le CERPI en tête, M. Vanbockestal étant le principal attaqué, de même que sa maison d'éditions !  Le coup était rude pour le leader du groupement qui, dans la foulée, subissait également des infiltrations et indélicatesses dans ses troupes, la traîtrise de certains et une succession d'attaques informatiques particulièrement puissantes qui aboutissaient en fin de compte à la destruction du site Web du CERPI.

Fort heureusement, le CERPI dispose de ressources énormes et, après être venu en aide à New Belgaria sui subissait lui-même de gros problèmes informatiques et lui avoir donné un nom de domaine propre, c'était cette fois le portail belgo-bulgare qui venait indirectement à sa rescousse.  Comme on pouvait s'y attendre, plusieurs partenaires du géant belge lui prêtèrent également main forte, au même titre que quelques fidèles amis ou correspondants.  La réunion du Western County House de Uccle mit un peu de baume sur les blessures toutes fraîches du moteur du CERPI.  Et puis, la machine, sérieusement ébranlée mais pas anéantie, allait une fois de plus remonter le courant.

On connaît la suite, au prix d'un travail acharné, d'une volonté de fer et d'un courage inouï, le CERPI commença à redresser la tête et à remonter le courant à la force du poignet.

Le CERPI avait payé très cher son succès et perdu momentanément le leadership, mais il avait aussi payé pour apprendre... M. Vanbockestal prit des dispositions draconiennes afin d'éviter que pareille déconvenue puisse encore se reproduire et donna à son organisme une nouvelle structure, de nouvelles méthodes et de nouveaux principes.  C'en était fini de la bonhommie des seventies et des heighties et de la confiance presque aveugle, tout le monde n'était plus beau et gentil.  Puisque le domaine était désormais peuplé de requins, il allait agir en conséquence...

L'ascension du CERPI aux sommets

L'ascension du CERPI ne fut donc que momentanément freinée et bien que clairement ciblé par des instances qui ne voulaient que son anéantissement, le CERPI sut parfaitement renaître de ses cendres !  Revanchard comme pas deux, M. Vanbockestal ne laissa pas un seul point d'ombre dans l'affaire qui lui avait causé tant de soucis et de critiques, très acerbes.  En effet, notre Président déclencha une enquête raz-de-marée, en y mettant toutes les forces vives du groupement et cette époque fut épique !  L'histoire méritait qu'on la raconte et ce fut bien ce qui se passa d'autant que le CERPI parvint à faire un maximum de clarté dans l'affaire d'Arc-Wattripont, un véritable tour de force qui fut parsemé d'embûches inimaginables (en plus de l'intervention télévisée, il y eut le décès d'un protagoniste principal, Monsieur Jean-Marie Tesmoingt dont il fut cependant possible de récupérer les archives; gendarmes et policiers de l'époque (1993) du cold case se rangèrent derrière "le moteur" et lui prêtèrent main forte, sans pour autant se départir de leur objectivité quant à la réalité des faits.  Ne négligeant aucun détail, M. Vanbockestal parvint à ses fins dans l'enquête qui restera probablement à tout jamais le summum de l'histoire du CERPI !  Sur cette lancée, il publia, aux éditions JMG, le livre : "Le poltergeist d'Arc-Wattripont, vérité, scandale et désinformation", un ouvrage préfacé par le professeur Dierkens himself, qui se proposait de détromper les milliers (sinon les millions) de téléspectateurs et surfeurs qui avaient été victimes d'une désinformation en règle, commise par des journaleux ignorants de leur propre déontologie mais aussi peu soucieux de la fiabilité de leurs propos, pourtant diffusés dans toute la communauté francophone (excusez du peu !)

La suite fut peuplée d'interviews et de reportages sur tous les fronts.  On entendit parler du CERPI dans les 30 histoires extraordinaires de TF1, sur N23, sur KNTV, dans de nombreuses émissions radio et dans les journaux.  Comme il le dit parfois lui-même, avec sa mentalité d'anglophile : "revenge is a dish best served cold" (la vengeance est un plat qui se mange froid !) 

Et puis le CERPI continua de défrayer la chronique et multiplia les enquêtes dans les affaires les plus sulfureuses, lesquelles allaient de plus en plus loin.  Notre Président, M. Vanbockestal fut reçu à l'Académie française d'Ufologie et put désormais se permettre de tutoyer (au sens figuré) les plus grands ufologues, non seulement de l'Hexagone et de ses voisins, mais également du monde entier.  Le CERPI disposait de largement assez de grosses pointures dans ses rangs, ce qui lui permit de faire (encore !) des étincelles.  Sans jamais perdre son sens de l'humour.

La fin du CERPI conventionnel

Un dicton prétend que "tant va la cruche à l'eau qu'à la fin, elle se casse !".  Ce devait être le cas pour notre Président qui subit une nouvelle fois tout un ensemble de problèmes de santé ponctuées de plusieurs opérations.  L'usure commençait à se faire sentir en même temps que l'âge !  Pour couronner le tout, ce fut l'époque du décès de plusieurs de ses idoles (Johnny Hallyday, France Gall, Fats Domino, Chuck Berry, e.a.) mais surtout celui en cascade de plusieurs de ses éléments ou d'anciennes connaissances précieuses (Ralph Goessens, Franck Boitte, Jean-Luc Vertongen, Paul Derobertmasure, Angel Keymeulen, Mario Soltice, sans compter les Stanton Friedman et bien d'autres !)... Et malgré tout cela, "le moteur" (sans doute devenu moins performant mais toujours très volontaire) se lançait dans des enquêtes dépassant parfois largement les limites du raisonnable en matière de risques encourus.  L'excès de perspicacité pouvant revêtir un caractère particulièrement dangereux, notamment aux yeux des services secrets, organisations d'espionnage et de contre-espionnage, de l'armée, etc. il fut victime de plusieurs tentatives d'assassinats qui n'échouèrent que grâce à son sang froid et son professionnalisme.  Parallèlement à tout cela, de gros bouleversements informatiques survenant en coulisses, M. Vanbockestal comprit qu'il était temps de raccrocher les gants et que, quoi qu'il arrive le CERPI conventionnel était un mort en sursis.  Un sursis de plus en plus bref, d'ailleurs.

Il changea donc complètement son fusil d'épaule et prit une retraite parapsychologique et ufologique bien méritée, sans toutefois abandonner le milieu.  Il n'était pas question d'arrêter, mais bien de ralentir.  Désormais dégagé des contraintes de la formidable "usine à gaz" ou de la fabrique de rouleaux compresseurs, il établit alors les nouvelles bases ses activités du nouveau CERPI et c'est ainsi que naquit le présent site Web, plus simple et basé sur d'autres axes, mettant notamment en avant le multimédia.  Après avoir tant donné, il était temps de se faire plaisir !


Il semble logique, dans cet historique du CERPI, de présenter nos hommages à diverses personnalités qui de près ou de loin, intervinrent dans son essor : Hommage à mon père
Hommage à mon père via le titre de champion de Belgique du Standard de Liège
Hommage à Jacques Vandewattyne
Hommage à Ralph Goessens
Hommage à Jean Dierkens
Hommage à Jean-Marie Tesmoing avec un terrible épilogue :
L'enfer sur terre pour Jean-Marie Tesmoing

Hommage à Jean-Luc Vertongen
Hommage à Fernand Roland
Hommage à Philippe Roland
Hommage à Mario Soltic
Hommage à la SOBEPS
Hommage à Yves Lignon.